Institutrice le jour, auteure la nuit
Moi, c’est Mathilde, 26 ans et expatriée aux États-Unis. Je jongle quotidiennement entre plusieurs casquettes : institutrice la journée, puis auteure à mes heures perdues. Je ne vis (presque) que de romance et d’eau fraîche, mais je ne dis jamais non à un café glacé à la vanille, ainsi qu’à une petite aventure. Au fil de mes voyages, mon imagination s’éveille et tisse de nouvelles histoires, empreintes des nouveaux paysages qui jalonnent mon chemin.
Institutrice le jour, auteure la nuit
Moi, c’est Mathilde, 26 ans et expatriée aux États-Unis. Je jongle quotidiennement entre plusieurs casquettes : institutrice la journée, puis auteure à mes heures perdues. Je ne vis (presque) que de romance et d’eau fraîche, mais je ne dis jamais non à un café glacé à la vanille, ainsi qu’à une petite aventure. Au fil de mes voyages, mon imagination s’éveille et tisse de nouvelles histoires, empreintes des nouveaux paysages qui jalonnent mon chemin.
Je suis tellement bavarde que je n’avais pas le temps de dire tout ce que je voulais en une journée. Alors j’ai commencé à écrire des romans.
Mon parcours avec l’écriture a été parsemé de tentatives inabouties. À maintes reprises, au cours de mon adolescence, j’ai essayé de produire un roman, sans jamais réussir à terminer quoi que ce soit. Mais malgré ces échecs, un désir ardent persistait : celui de trouver ma place, de comprendre qui je suis vraiment.
C’est ainsi que, en 2019, j’ai décidé de partir en Équateur pour mes études. Ce qui devait être un bref séjour de dix mois s’est transformé en une aventure de quatre ans. Là-bas, au cœur de nouveaux horizons, est née l’inspiration pour mon premier roman, Sur les rives de nos songes. Ce livre, fruit de mon expérience, est devenu le premier pas vers une nouvelle passion.
Le Parfum des pissenlits a germé ensuite, comme un besoin pour rendre hommage à ma grand-mère. Son écriture m’a sauvée, parce qu’il m’a permis de faire un deuil qui perdurait. Dans ce roman, je revisite mes souvenirs dans mon village d’enfance, mêlant réalité et fiction pour guérir.
En fait, l’écriture est pour moi bien plus qu’un simple passe-temps ; c’est un refuge, un moyen de donner vie à mes émotions les plus profondes. En tant qu’hypersensible, je me sens souvent en décalage avec le monde moderne, mais à travers l’écriture, je peux exprimer ce que je ne sais pas dire autrement.
En 2023, une nouvelle aventure m’attendait dans les montagnes majestueuses du Colorado. C’est là que j’ai trouvé une nouvelle muse pour mon écriture, inspirée par le choc culturel et la langue. Deux nouvelles romances ont vu le jour, chacune portant les traces de mon propre cheminement ; L’Escale de Noël et Ma vie dans une valise.
Mais ce n’est pas la fin de mon parcours. Chaque voyage, chaque nouvelle rencontre, continue d’alimenter ma plume. Chaque lieu, chaque histoire, est une nouvelle toile sur laquelle je peins mes mots. Je me rends compte, après 5 ans à l’étranger, que l’avenir est plein de promesses, et je suis impatiente de voir ce qu’il me réserve !
Mon parcours
J'en ai rêvé depuis que je suis enfant : je pars enfin vivre à l'étranger. Pour moi, c'est plus que deux semestres à étudier dans un autre pays, c'est le tremplin vers la vie que j'ai rêvée. Je suis partie pour rester 10 mois. L'aventure s'étendra finalement sur 4 ans.
Mon expatriation en Équateur me donne envie de recommencer à écrire. J'y vis des expériences extraordinaires et je compris que si je ne les mets pas par écrit, elles risquent de sombrer dans l'oubli. C'est ainsi que germe l'idée de mon premier roman, Sur les rives de nos songes. Un an plus tard, je termine le premier jet.
Je commence à écrire Le Parfum des pissenlits, un livre sur le deuil, parce que quatre ans après, je n'accepte toujours pas la perte de l'une des personnes les plus importantes de ma vie : ma mamie.
Je décide de changer de décor et pars pour le Colorado, aux États-Unis. Le voyage pour arriver dans mon nouveau chez-moi est long et m'inspire une romance d'été que je ne commencerai à écrire que l'année suivante.
Après deux ans de travail acharné, j'auto-édite mon premier roman, Sur les rives de nos songes.
Mes élèves me donnent l'idée d'une romance de Noël, et décide de l'écrire. C'est ainsi que nous avons relevé le défi du NaNoWriMo ensemble.
Je commence à écrire Ma vie dans une valise, une comédie romantique mettant en scène une prof expatriée qui part vivre dans le Colorado. Un peu de ressemblance avec moi, non ?
J'auto-édite Le Parfum des pissenlits. Sa publication me permet de réaliser que j'ai bel et bien fait mon deuil.
Mon voyage en voiture de New York jusqu'à Denver m'a inspiré un livre. Un an après, je me décide enfin à tenter l'écriture de cette comédie romantique d'été en deux tomes. À voir ce que ça va donner !
Mes indispensables
Du café
Un café glacé à la vanille, s’il te plaît ! Si tu as lu mes romans, tu comprends donc d’où vient la passion des personnages féminins pour le café.
Mon chien
J’ai toujours besoin de la compagnie de Leia, ma petite runa (comme on appelle en Équateur les chiens issus mélanges de races). Elle est née dans un terrain abandonné en face de chez moi et depuis, elle ne m’a plus quittée.
De la musique
J’écoute de la bachata tous les jours, sans faute. Surtout Romeo Santos avec son groupe Aventura. Sans bachata pour me réveiller, la journée s’annonce mauvaise.
Mes histoires à travers le monde
Comme on dit en Équateur, j’ai la « patte chaude » (pata cliente, en espagnol). C’est-à-dire que j’ai besoin de bouger, tout le temps. Cette soif d’aventure imprègne mes journées, mais aussi ma vie entière. De mes voyages et expatriations ont émergé différentes histoires, germées dans mon esprit comme des petites graines. D’abord en Équateur, puis un retour en France, avant que mes racines s’étendent jusqu’au Colorado.
Tu as envie de partir à l’aventure ? Alors, je t’invite à explorer la carte pour découvrir les récits des personnages qui portent chacun une part de moi et une part des lieux que j’ai eu la chance de découvrir !